Un stage avec Arlette-Christine Agassis

Durant trois jours de stage, il s’en passe des choses…
Que pourrais-je vous résumer de ce qui s’est passé?
J’ai déjà tant oublié de choses…

Il y a été question en permanence de toile de fond, de mouvements du bon sens, que vous découvrirez en participant à ses stages si cela vous intéresse.

Phénomène 1…
Nous étions divers cavaliers de divers horizons avec chacun notre besoin égocentré d’aide, forcément.
Arlette a réussi à nous mettre en communion de recherche d’amélioration pour chacun, ôtant cette barrière d’egocentrage (si… je suis monitrice, j’invente les mots qui me sont utiles si je veux!).
Que la physique quantique, c’est chouette et à considérer dans la relation au cheval.
Qu’on peut en déduire pas mal de choses rien qu’en lisant cela.

Vous souvenez-vous? J’avais mis en ligne cette expérience prouvant qu’en chacun de nous existe un être relié à l’univers n’aspirant qu’à un état de plénitude; c’était ici.
Vous avez peut-être croisé une de ces expériences montrant que la notion d’amour, de bonheur, de joie ou tout autre sentiment imaginé mais positif influence positivement les autres personnes, mais aussi nos animaux, et toute matière vivante

Tout cela pour dire qu’il y a en nous les capacités à créer ou recréer de belles choses entre les chevaux et nous, peu importe la façon dont leur vie ou la notre a commencé, peu importe comment notre relation a débuté.
Tout cela pour dire qu’il y a en nous les capacités à communiquer avec nos chevaux bien plus subtilement qu’on ne le croit (je ne parle qu’équitation, et ceux qui ont pris des cours avec moi, et qui avaient l’envie d’expérimenter cela les deux dernières années le savent, bien entendu).

Arlette est montée sur Dylan. Toute concentrée sur son rythme (impulsion dit-elle) intérieur. Et elle a ralenti Dylan, patiemment, patiemment, lui laissant toute latitude de marcher, en gardant la conscience du jeu de son dos (oui, un point clef que je développerai ensuite)… Et petit-à-petit, j’ai vu Dylan non seulement ralentir son pas, mais sans perdre en activité, et surtout… sans ambler, avec une très belle expression de ses gestes…

Et là… je ne peux qu’être convaincue…

Phénomène 2
Elle nous a rappelé ou appris que lorsque cela ne va pas, nous avons les ressources en nous pour apaiser les tensions.
Que ce soit un cheval qui court (qui fuit en allant trop vite), ou qui ne veut pas aller droit, ou qui se fait des frayeurs…
Ne pas lutter, accepter la réalité, l’absorber, la transformer par notre calme et notre certitude dans leur capacité à se poser (oui, bon, ça, c’est la théorie).
Et ceci en se basant sur des ressentis extérieurs, mesurables, quantifiables, en se basant sur notre aptitude à rester relier au reste de l’univers sans se laisser emmener et ancrer dans nos perceptions désagréables.
Les chevaux effrayés s’apaisent, les combattifs s’adoucissent, etc.
Oui oui, on pratique cela au club… m’enfin, pas par ce biais et pas avec cette vision si large… pas de façon si poussée…

Phénomène 3
Elle nous a ouvert tout un processus de réflexions par ses expériences passées, concernant le positionnement du cavalier sur le dos du cheval pour mieux lui permettre de jouer de son dos et d’avoir plus de facilités pour monter la cage thoracique (ou de moins la laisser descendre à cause de notre poids). Tout en prenant plus intimement conscience de ce jeu du dos à tout instant dans l’idée de lui permettre d’exister et jouer. Placement, posture et conscience donc…

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