Des études relativement récentes ont tenté d’estimer à quel point les soigneurs savent percevoir les signaux de mal-être ou de bien-être des chevaux présents dans leurs écuries.
Les résultats sont navrants: les soigneurs (et donc les moniteurs et cavaliers de ces structures sans doute aussi, à moins que la communication humaine soit inexistante aussi, mais j’en doute) pensent majoritairement que les signaux de détresse sont juste des comportements absolument ‘normaux’ de la part de leurs chevaux.
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