Notre jeune Arabe si émotif s’est nettement assagi, sans pour autant avoir perdu sa sensibilité à fleur de peau. Il tolère très bien que l’on soit sur son dos et qu’on le dirige, mais son émotivité est bien là dès que nous sommes trop loin en balade, dès que nous sommes sur le retour, dès qu’un bruit incongru nous surprend… Il se panique, il veut fuir, il veut rentrer au galop, il veut ses copains, il veut… Tout en acceptant de partir seul en balade, et d’obéir alors qu’il devrait paniquer…
Un vrai gentil petit bonhomme que celui-là, mais quelle vie intensément stressante encore pour lui… Avec l’expérience, cela s’atténuera 😉
Cela fera tout drôle de ne plus le voir (avec sa bouille de naïf qui cherche les grattouilles, ses prompts départs la queue en panache), quand il rentrera chez lui d’ici peu…