2 pensées à propos de “L’art d’embrasser: étude.

  1. ben ça c’est pas banal. Est ce que ce type de comportement s’explique? c’est vraiment de la “tendresse” ?

    1. En tout cas, il est certain que cela n’est pas lié à de l’antipathie! 😀

      De là à dire que cela est de la tendresse…
      Pour beaucoup, on voit que ce sont, pour les chevaux, des dérivés de jeux très adoucis pour s’adapter à la situation: le cheval ne mord pas pour jouer mais se contente de lécher ou solliciter de ses lèvres.
      On a aussi un processus exploratoire qui s’arrête au toucher par la langue et les lèvres et ne va pas jusqu’à la découverte par les dents. Certains chevaux apprennent cela très vite afin de conserver du contact social (ne pas en être privé). Chez nous, Pirate est passé expert de la léchouille. A l’inverse, Disco n’a, lui, jamais su s’adapter pour conserver un lien social doux avec nous (et ça finissait toujours par le poser de dents).

      Pour ce qui est des chiens…
      Eux, leur soumission passe par le léchage de la bouche du dominant… Ajoutons à cela qu’ils ont un profond sens de l’hygiène (moins qu’un chat, certes, mais quand même, ils récurent tout fluide biologique émis, parfois avec une ferveur dépassant l’entendement!). Donc la situation leur convient doublement à merveille!

      Est-ce que, lorsque c’est bien installé, cela correspond à ce que nous nommons tendresse?
      Comment s’exprime la tendresse entre les chevaux? entre les chiens?
      Est-ce que c’est un compromis? :-/
      Du coup j’en reviens à: en tout cas, ce n’est pas de l’antipathie!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

 

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.