Ces nombreuses journées pluvieuses nous ont permis d’observer plusieurs choses.

D’une part, le sol autour des râteliers est devenu rapidement impraticable, ce qui nous maintient dans l’idée que les balles rondes par temps pluvieux, c’est pas une bonne idée (nous ne pouvons déplacer les râteliers avec les grosses balles placées dedans donc on saccage le terrain irrémédiablement).

D’autre part, nous devenons efficaces dans la pose et l’enlèvement des couvertures.

Et enfin, nos équidés ont globalement bien supporté ce mauvais climat – mieux que les précédentes années – mais pas Vénus que j’ai toujours trouvée transie de froid et que nous avons dû couvrir systématiquement.