Et de quatre…

Moi, Vanpass, j’ai découvert récemment lors de ma quatrième balade que…

– ça devient de plus en plus dur de s’éloigner de mes tontons (papas?) et copains, maintenant que je les connais bien. Mais y’a rien à faire, maman ne revient pas vers moi une fois qu’elle est lancée. Et j’ai beau galoper de maman au parc et du parc à maman, elle continue sa route loin de moi de son pas régulier. Quel dilemme! Et puis c’est quand même elle qui détient la bouteille de lait en otage…

Vanpass se décide enfin à rejoindre sa mère! Vanpass hésite encore

– je ne peux plus résister à l’appel de l’herbe 😛 ni des champs de jeunes tournesols. 😈 : je m’offre aussitôt de grandes galopades ventre à terre!
Quand je double ou croise maman sans même freiner ma course, j’entends son humaine maugréer: “Nan tu restes calme, il se débrouille! On va quand même pas le suivre dans ses âneries, non! Et pis marche droit au lieu de te tordre en tous sens pour voir où il est; j’te dis qu’y revient! Hé ben voilà, j’avais raison… euh?…  😐 Ben y re-reviendra, crois-moi quoi, oh et puis marche droit, zut”

– freiner trop tard quand un fossé vous vient droit dessus à fond (goujat, félon!), ça te me ne vous fait atterrir direct dedans grâce à un magnifique geste technique de ‘drag-and-drop’ du plus bel effet.
(ndlr: en informatique, ‘drag-and-drop’ signifie ‘glissé-déposé’, à ne pas confondre avec le très très banal ‘copié-collé’; d’ailleurs, Vanpass se copie-colle très mal)

Quant à la vie en parc, j’ai appris ceci tout fraichement:

– s’approcher de maman qui se roule, c’est affronter des paires de sabots qui volent en tous sens. Aïeuh ma mâchoire quand je me suis approché d’elle pour jouer alors qu’elle passait sur le dos! 😐 Blam! et sans même qu’elle s’en rende compte en plus!

Vanpass et les sabots virevoltants de maman

– si je laisse maman quand elle part rejoindre son seau de grain, je peux me trouver cloitré loin d’elle (encore rien compris à l’agencement des passages dans ces parcs!), et qu’elle n’en avait rien à faire malgré mes hennissements. 🙁 Dire que je me croyais tout-puissant…
J’ai finalement piqué un grand galop de colère qu’elle a tout juste suivi du regard, en mâchant son grain. Pfff.
Mais du coup ça a emmené des poneys avec moi, ils me galopaient derrière et j’ai eu la trouille de ma vie de les voir tous à mes trousses! 😯
J’ai galopé encore beaucoup plus vite que de colère!!
Ben maman est arrivée telle Zorro sur Tornado. 😎
Elle m’a récupéré en deux coups de louche à seau, et tous les poneys ont vite déchanté: récré finie. Mais elle a tout transpiré tellement elle avait stressé. Moi aussi.
Et qu’est-ce-que j’ai pu téter quand j’ai retrouvé mon souffle! trop rassurant…

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4 pensées à propos de “Et de quatre…

  1. L’éclate totale pour moi à lire tes mésaventures bébé Vanpass après une journée de travail pas bien top, merci Vanpass 😆

  2. Pffff…. ça parle pas les poulains! Les chevaux non plus d’ailleurs! ne serait ce pas de l’anthropomorphisme Mlle Joubert?

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