Ces poneys vivent à Oymyakon. Ils servent à la traction (ils sont attelés) et non à la monte: ils ont gardé un caractère très fortement sauvage et ne laissent personne les enfourcher (s’installer sur leur dos).
Les rennes et les vaches qui vivent dans ces endroits perdus de Sibérie sont d’ailleurs plus faciles à monter que ces poneys…
Les humains et les animaux vivent neuf mois de l’année à des températures pouvant descendre jusqu’à -70°c (en général -40°c), et trois mois à des températures atteignant jusqu’à +35°c (en général +15°c).
Pour vous faire une idée, les enfants d’Oymyakon ont le droit de ne plus aller à l’école seulement si les températures sont en dessous de -52°c !
Cette ville est entourée de montagnes qui gardent prisonnières les masses d’air froid, mais qui, par ailleurs, ne laissent pas le vent passer: c’est ce qui rend la vie supportable.
Dans ces contrées si rudes où la vie a du mal à s’épanouir, où il n’y a aucun légume qui survive au froid, où les poissons pêchés sont gelés aussitôt sortis de l’eau, les animaux de travail servent aussi de nourriture aux habitants. Il s’agit dans ce cas de survie et non de manque d’humanité ou de reconnaissance.
Un article qui réchauffe…
Et dire qu’on se plaint de nos petits -5°C, pfff!!
OYMYAKON, en Sibérie, est, parait-il, la ville la plus froide du monde!!!!
D’accord, mais comment ça se prononce, Oymyakon?
Bonne nouvelle ! Il fait -53° à Oymyakon… Les enfants n’ont donc pas classe ! 😎
Mais qu’apprends-je! Ils ne vont pas en classe alors qu’il ne fait que 3km/h de vent!
De qui se moque-t-on, je vous le demande!
:pissedoff:
A croire qu’il fait un froid sibérien chez eux aussi!
😆