Havane ayant été sauvée de l’île de la Réunion, et nous ayant pondu trois jolis chiots dès son arrivée au club,
nous sommes heureux de vous annoncer que les chiots ont entamé leur vie dans leur nouvelle famille.
Bien sûr, cela leur fait tout drôle de se retrouver sans leurs frère et soeur, ils le chouinent régulièrement, mais cela semble se calmer… Métisse et Manhattan sont déjà revenues voir leur maman au club.
Berlioz a dû être sevré plus vite, et comme il est d’un naturel très expressif, il a pas mal chouiné… Mais j’apprends qu’il vient de faire sa première nuit complète, petit chou… et qu’il trouve en Mando (le chat) un chouette copain de jeu.
Dans les histoires belles (sans compter les trois histoires magnifiques qui se créent entre chaque chiot et leur famille), il est celle de Métisse et Hyata.
Les trois chiots avaient passé la nuit chez Hyata il y a plus d’une semaine.
Ceci a suffit à déclencher chez Hyata une montée de lait.
Hyata, c’est la dalmatienne (née chez Carina) de Véronique et Olivier.
Du coup, quand Métisse a rejoint sa maison et sa famille-pour-la-vie lundi, Hyata avait du lait à revendre et a accepté que Métisse la tète… Métisse a donc une maman adoptive rien que pour elle…
Une histoire qui ce finit bien pour la petite famille 🙂
Depuis quelques jours, nous avons surpris Havane à aller dire bonjour aux personnes qui arrivent au poney club… et même à quémander des caresses en toute discrétion!!!
Quelle joie, quelle réussite! Elle croit enfin en l’Homme, elle n’attend plus de la maltraitance de notre part! Elle ne nous fuit plus du regard, elle ne tremble plus de terreur, elle ne déglutit plus de stress, elle est juste… bien!
Regardez bien cette vidéo:
https://www.facebook.com/1488673938095681/videos/1540575596238848/
Vous voyez… Havane avait ce comportement en arrivant…
Le même regard, le même corps tendu, les mêmes tremblements…
Ce petit chien a subi ça pour être dans cet état:
https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1540576126238795&id=1488673938095681
Mon coeur est, a posteriori, si lourd pour ce qu’a dû vivre Havane… Pardon ma belle, pardon pour ce dont nous sommes capables…