(Ce texte a été intégralement pompé sur le site de Chris Saunier himself)
“J’essaie chaque jour de corriger les erreurs de la vie,
en faisant pour les autres ce qu’on a jamais fait pour moi.”
Chris
Chris naît en 1960 à Orléans.
Très tôt, le jeune bambin commence à démonter tout ce qui passe à sa portée, laissant présager une carrière dans le technique.
Ce n’est pas de la destruction mais plutôt de l’intérêt. Ensuite il remonte tout.
Il faut dire que la famille ne roule pas sur l’or et, en l’absence de jouets, le rejeton n’a pas d’autre choix que d’assouvir sa curiosité naturelle avec ce qui l’entoure.
Parmi ses nombreuses victimes, le vieux piano du salon passe également entre ses mains. Il commence ainsi à en jouer seul à l’âge de 4 ans, sans jamais suivre de cours ni même apprendre un solfège qu’il refuse encore aujourd’hui.
Chris reproduit alors tout ce qu’il entend à la radio. Une passion vient de naître, qui ne le quittera plus.
Premiers signes d’une très longue expérience de “piano-bar”.
Puis notre petit monstre s’oriente vers l’électricité. A force de bobiner du fil de cuivre autour d’un clou, à 8 ans, il réalise un moteur électrique, le plus rustique qui soit, simplement constitué d’une pile, d’un aimant et de fil électrique en forme de cœur.
” Le coeur artificiel “. inventé à 8 ans par Chris
Nous sommes alors en 1968 et c’est une première mais le bambin ne le sait pas encore.
A cette invention, il donnera le surnom de “cœur artificiel”.
Elle marquera le début d’une longue carrière.
Il découvre ensuite l’électronique puis la “haute-tension”.
A 12 ans, il achève la fabrication d’un générateur de rayons-X à partir de vieilles carcasses de télévisions.
Son coté technique va bientôt révéler son coté artistique.
Avec un fer à souder de fortune, il assemble un globe terrestre en fil de fer. Il passera ensuite des heures à le regarder en rêvant de voyages.
Avec un morceau de tresse métallique, il réalise aussi ce minuscule cobra, de seulement trois centimètres de haut, sans même se douter qu’un jour il en verra de très près…
Chris achète ensuite son premier couteau suisse qui ne le quittera plus.
Au fond du grenier de la maison, armé de cet inséparable outil, il tente alors les expériences les plus farfelues.
Alors que ses copains exhibent fièrement des phalanges roussies par leurs premières cigarettes, les siennes le sont aussi, mais pour d’autres raisons.
Les brûlantes expériences de la veille au soir ont encore mal tournées.
Une nouvelle fois, il a dû évacuer le grenier en quatrième vitesse sous peine d’asphyxie.
Les traces laissées sur ses doigts, attestent encore de la violence du foyer.
A cette époque, il croit plus à l’extincteur qu’au bon dieu.
En parallèle, les programmes scolaires lui paraissent bien fades. Ils ne répondent pas du tout à son besoin d’épanouissement.
Le gamin collectionne donc les zéros en dictée, mais excelle en travaux pratiques.
Original et distrait, il n’est pas rare qu’il enfile son pull à l’envers ou qu’il arrive à l’école avec des chaussettes de couleur différente.
A l’âge où les autres écoliers ne soignent que leur image, Chris reste plus concentré par ses inventions que par les éternels soubresauts de la mode ou qu’à se pommader le groin pour en chasser l’acné.
Après s’être laissé vivre pendant de longues années, on le classe définitivement comme cancre, et il finit par redoubler en sixième de transition !
(Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’y aller, sachez que le simple fait d’ouvrir un livre était comme une déclaration de guerre envers le reste des élèves. Ça finissait souvent en bagarre générale).
Il est alors le plus jeune, dans cette classe où le redoublement est souvent une tradition de famille. Ici, personne n’est là pour étudier.
Seul le petit Chris a encore envie d’apprendre, et visiblement, ça dérange les autres. Afin de retourner dans une classe digne de ce nom, il se met, cette fois, à travailler.
Pour préserver son indépendance, il prend l’habitude de distribuer quelques raclées autour de lui, sans attendre qu’on vienne les chercher.
Il peut ensuite ouvrir tranquillement ses livres.
Ainsi donc, après avoir éclaté plusieurs lèvres et repeint quelques yeux, il est rapidement classé comme “asocial et dangereux” par le reste de la meute.
Désormais, on l’évite farouchement.
Le proviseur, las d’entendre relater ses péripéties, le convoque pour trouver un terrain d’entente. L’année suivante, il sera remis dans une scolarité normale, en échange de bons résultats et d’un calme retrouvé.
Le petit Orléanais travaille alors d’arrache-pied et les résultats suivent.
L’ex-cancre va enfin pouvoir faire ce qui lui plait …
Chris décroche un bac F3 (mécanique, électricité, électronique), mais les matières apprises à Orléans ne lui suffisent pas. Il comprend vite que s’il veut approfondir ses connaissances, il devra partir étudier à la capitale.
L’autre problème est que l’enseignement public de l’époque n’offrant aucune des nouvelles disciplines qui l’intéressent, il ne lui reste que le privé, mais c’est hors de prix…
Chris se rend alors à Paris et réussit le concours d’entrée dans un bahut coûteux pour “fils à papa” où les étudiants portent costume cravate et viennent en Porsche. Il est alors le seul spécimen survivant d’une classe de transition. Il découvre vite qu’aucun de ses camarades n’est là par choix, mais uniquement sur décision des parents. Ca fera toute la différence.
Trahi par ses vêtements sortis tout droit de chez Emmaüs, Chris passe rapidement pour un indigent nécessiteux infréquentable.
Dans un grand souci d’humanité, les autres élèves ne manquent pas de le lui rappeler quotidiennement. Chris s’en moque et travaille avec acharnement.
Malgré ses excellents résultats, les réflexions de ses gentils camarades commencent à inquiéter le gestionnaire de l’établissement.
Pour le rassurer, Chris lui confesse qu’il joue du piano-bar pour financer ses cours ! Surprise du directeur…
…qui finira par venir l’écouter jouer de temps en temps.
Chaque midi, l’ensemble des élèves se retrouvent dans le même restaurant chic, pendant que dans un autre, notre asticot joue du piano le ventre vide, cerné d’amoureux qui déjeunent aux chandelles.
Pas assez d’argent non plus pour un hébergement à Paris, alors chaque jour Chris enregistre ses cours sur un petit magnétophone qu’il réécoute au casque le soir, dans le train qui le ramène à Orléans.
Pour économiser les piles, notre jeune étudiant a dû trouver une solution :
il branche discrètement deux fils sur le plafonnier du wagon. Bien cachés derrière le rideau de la fenêtre, ils descendent jusqu’à un petit montage électronique «fait maison» qui transforme le 72 Volts du train en 6 Volts pour le magnétophone. Depuis ce jour, écoute et rechargement gratuits des batteries.
Il est vite découvert par le contrôleur SNCF de l’époque qui fermera gentiment les yeux sur cette pratique peu ordinaire, subjugué par l’ingéniosité du système et par cette détermination à étudier, coûte que coûte.
Grâce à bon nombre d’astuces du même genre, à un manque perpétuel de sommeil et à l’aide inoubliable de quelques uns de ses professeurs, Chris parviendra à suivre, en parallèle, les enseignement dispensés dans différentes filières, telles que : traitement du son et de la vidéo, informatique, microélectronique, robotique, cybernétique, intelligence artificielle, électronique moléculaire…
Et voici la réponse de Chris quand on l’interroge sur ses diplômes.
“A l’opposé de ces ingénieurs de pacotille qui vous citent leurs diplômes en guise de prénom, j’éprouve plus de satisfaction à m’être sorti d’une classe de transition, plutôt qu’à exhiber le moindre de mes titres.
Cette discrétion à propos de mes qualifications, a d’ailleurs joué des tours à pas mal de gens. Quelques-uns, trop prétentieux, ont assez mal digéré leur comparaison avec une boîte de conserve. L’important n’étant pas l’étiquette, mais plutôt ce qu’il y a vraiment dans la boîte.
Il serait temps qu’on arrête de nous bassiner avec les diplômes.
Pour avoir fréquenté, tour à tour, les cancres puis les tronches, je peux vous assurer que la mesure de l’intelligence ne se fait pas avec des titres. Elle se lit dans l’éclat du regard, et quand l’œil ne transmet rien, c’est souvent le signe que derrière, la cervelle est vide. Tous les diplômes du monde n’y changeront rien.
Face à eux, les autodidactes ont cent fois plus de mérite.
C’est l’envie d’apprendre qui les anime et elle reste la meilleure garantie de la réussite.
Depuis les bancs de l’école jusqu’au fond de nos entreprises, notre monde est gangrené de ces “tronches”, avares de renseignements. Ils prétendent que tout est toujours compliqué, pour ne pas avoir à diffuser leur savoir, et verraient d’un très mauvais oeil, que vous en sachiez autant qu’eux.
Ce refus de partager ses connaissances est le reflet d’un esprit étroit, souvent mal irrigué derrière une cravate trop serrée, tout juste bonne à empêcher la cervelle de dégouliner dans les godasses.
En réalité, beaucoup de choses apparemment compliquées se révèlent fort simples, dès l’instant que quelqu’un prend la peine de nous les expliquer. Encore faut-il trouver une personne qui en ait envie.
Je crois personnellement que la richesse est dans l’échange. C’est tellement agréable de transmettre ce qu’on a appris. Je reste convaincu que le partage des connaissances permettra un jour, à chacun, de s’instruire librement.
Internet n’en est que le précurseur.”
Chris
Retour d’afrique, le service militaire.
Après le désert, on ne peut qu’aimer la plongée.
Chris va exercer bon nombre de petits boulots, aussi divers que moniteur de colonie de vacances, maître nageur dans les eaux froides de Bretagne, gardien de zoo, instructeur de planche à voile, preneur de son, cameraman, maquettiste, disc-jockey, traducteur technique …
… et même dessinateur.
Au cours de la grande époque des “radios libres” (qui n’en avaient encore que le nom), Chris participera à la chute du monopole d’Etat sur la radiodiffusion et à l’ouverture de la bande FM aux multiples expressions musicales, culturelles et associatives.
Chaque soir, une partie de chat et de souris se jouait entre les “animateurs pirates” et les “forces de l’ordre”. Dès la tombée de la nuit, les patrouilles de police sillonnaient la ville à la recherche des maudites antennes, pour confisquer puis détruire le matériel.
Les émetteurs illégaux, très volumineux, devaient donc être déplacés régulièrement.
Chris mettra alors au point un petit studio portable clandestin, à peine plus gros qu’un cartable. Composé d’un puissant émetteur embarqué avec tout son matériel d’enregistrement et de prise de son, il pourra même fonctionner en pleine nature, depuis la batterie d’une voiture.
Jamais découvert, il sera utilisé jusqu’à la légalisation des radios locales.
Chris passera alors de l’autre coté du micro pour animer ses propres émissions.
Aujourd’hui, après tant d’efforts pour obtenir une indépendance de la bande FM, il déplore ce qu’elle est devenue: un média de masse, gavé de publicités, dont le seul but est de garantir l’indice d’écoute.
Là aussi, dit il, “le profit et l’enrichissement ont tout détruit.”
Chris travaillera pour le cinéma.
On le retrouve sur plusieurs films, dont celui de Claude Lelouch “Les uns et les autres”.
Il participera aussi à de nombreux tournages mais cette fois pour une autre de ses compétences, les “effets spéciaux”.
En 1986, C’est le 7eme CAMEL TROPHY
Au programme : 3300 Km à travers l’Australie. C’est la plus longue édition depuis sa création.
C’est aussi la première fois qu’un équipage français pourra y participer. Chaque pays ne doit présenter que deux concurrents !
Chris fait partie des 25000 candidats qui postulent. Il réussit les nombreuses épreuves de sélection mais son dossier ne sera finalement pas retenu car il possède déjà une expérience du désert et, en cette année 1986, le CAMEL TROPHY ne souhaite se destiner qu’aux “amateurs débutants”.
Dommage…
Expert électronique et informatique, il travaillera dans l’armement, où la diversité de ses connaissances seront enfin perçues comme un atout.
Après avoir planché sur la sécurisation du radioguidage des drones et les débuts du “vol en immersion”, il intégrera le département “études et développements fusées”, pour la conception et la mise au point de l’électronique des missiles dit « intelligents ».
En 1990, l’Irak envahit le Koweït. C’est la tristement célèbre “Guerre du Golfe “.
La France, qui fait partie de la coalition internationale, participe donc militairement au conflit.
Très vite, les télévisions du monde entier diffusent en boucles les images des fameuses “frappes chirurgicales” mais aussi des “dommages collatéraux”.
Chris réalise que sa passion pour l’électronique l’a conduit trop loin et qu’il a mieux à faire que de participer à la conception de nouvelles armes.
Il démissionne et quitte définitivement Orléans pour aller s’installer dans le sud de la France.
Après un passage au “Centre National d’Études Spatiales”,
Chris, dans la “salle de lancement” du CNES.
Il mettra ses talents au service des calculateurs embarqués à bord des automobiles. Aujourd’hui encore, bon nombre de nos injections électroniques lui doivent une fière chandelle.
Entre temps, il fonde “Les Experts”, Conseil Informatique International entre la France et le Japon.
En collaboration avec l’Ambassade du Japon, Chris réalisera des programmes informatiques de formation au Japonais. Pendant plusieurs années, il animera un nombre incalculable d’heures de visioconférences et de télé- interventions entre les deux pays.
“C’est ce qu’on fait de notre temps sur Terre qui importe.”
Chris
A présent, Chris a jeté sa montre et habite la région toulousaine. “il faut trouver son propre rythme “, dit il.
Passionné, rêveur, obstiné, il laisse rarement les autres décider pour lui, et il ajoute:
“Dans ce monde de servitude volontaire, on est responsable de son destin.
Chacun doit faire ce qu’il croit bon, sans attendre de consignes d’une religion ou ‘l’esprit saint’ éradique souvent ‘l’esprit critique’ “
Chris est attiré par d’anciennes valeurs comme la courtoisie et le respect.
Il aime prendre son temps, l’amitié, la confiance, la simplicité, le goût de l’entraide et du partage qu’il argumente à sa façon :
“Chacun de nous détient, sans le savoir, la solution aux problèmes des autres.”
Chris
Il se désintéresse d’une politique dont les bulletins d’informations manipulent et divisent.
Il n’a, d’ailleurs, toujours pas de télévision pour lui dire ce qu’il faut voter, boire, manger, écouter, répéter ou penser de…
Une télévision qui nous fabrique des certitudes.
“Eteignez vos télévisions, sortez de chez vous et parlez à vos voisins.”
Chris
“… sa vie par procuration, devant son poste de télévision.”
Jean-Jacques Goldman
Chris adore rire, dessiner, jouer du piano, regarder des écureuils, les slows, les sushi, le Nutella, voyager.
Ancien pompier volontaire, il parle plusieurs langues dont le Japonais.
Il aime enseigner, transmettre ses connaissances, et prendre les commandes de toutes sortes de véhicules…
“Plus que le but, c’est le cheminement qui enrichit.”
Chris
…ou accorder un piano.
Fort de sa longue expérience du Piano-bar, il transmet volontiers à quelques privilégiés, sa méthode personnelle pour jouer rapidement, sans partitions ni solfège.
Une technique révolutionnaire qu’il a mise au point très jeune !
“Faire ce qui est bien, c’est le faire quand personne ne regarde.”
Chris
Chris a horreur du foot et de l’esprit de compétition qui, d’après lui, pourrit tout.
Il n’aime toujours pas la chasse, la corrida, tuer pour se divertir, les cravates, les conflits,
les leaders en général et ceux qui se prennent trop au sérieux,
tous ceux qui parlent au nom des autres sans jamais en partager l’existence,
la croissance économique, la productivité à outrance, le rendement, l’asservissement,
la consommation frénétique, les cartes de fidélité, l’accumulation, la publicité…
La conception de ce logo de Pôle emploi a coûté la bagatelle de 500.000 euros…
…et celui de l’ANPE 2.4 millions d’ euros
…
Des croquis du niveau d’un enfant de CM2!
Et d’où vient tout cet argent ? la réponse en images :
La publicité commerciale est une pollution.
Pour “satisfaire les industriels”, l’humanité pille, dévaste, pollue et légalise un esclavage moderne où le chômage est cultivé comme un instrument de chantage.
Dans ce monde d’asservissement légal, Chris déplore l’enseignement
du marketing: ( l’art de tromper ),
et du management: ( faire atteindre à certains, des objectifs définis et pécuniairement attendus par d’autres ).
D’après lui, “on est vivant parce qu’on se parle”.
Et il ajoute :
“La violence du capitalisme a réduit l’ensemble des rapports humains à des rapports marchands, où le plaisir immédiat est devenu la règle.
Depuis que les valeurs de commerce ont remplacés les valeurs d’humanité, nous sommes victimes d’un progrès économique qui va à l’encontre de l’Homme.
C’est la loi du profit maximum qui s’est substitué au bon sens, permettant ainsi le massacre de l’intelligence humaine, dans un démantèlement silencieux, tant industriel que social.
C’est grave de confondre “mieux être” et “avoir plus”.
A titre d’exemple :
Savez vous que les prix des produits sont soumis à de brusques changements et que la réaction du public est mesurée grâce aux fameuses cartes de fidélité.
La grande surface en tire un coefficient de consentement .
Je vous laisse le soin d’imaginer son but … “
Et quand on le questionne à propos de son expédition au Sahara ou sur l’écriture de son livre, Chris se définit toujours comme écrivain amateur et cite simplement cette jolie phrase de Marcel Pagnol:
“Tout le monde savait que c’était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l’a fait.”
Poème de Pablo Neruda, Prix Nobel de Littérature 1971
“Le délit suprême est d’avoir livré la beauté de la vie, à la vulgarité de la finance”
Pierre RHABI
“Je dédie ce site à J.J GOLDMAN. J’avais alors 18 ans. A cet âge malléable où l’on doute de tout, ses chansons avaient déjà un goût de vérité que les médias de l’époque n’ont pas su voir. Ce soi-disant « Chanteur à minettes », qui déplaçait les foules à chacun de ses concerts, a pourtant su montrer la direction à suivre à toute une génération d’ados. Celle qui permet d’aller “au bout de ses rêves”.
Alors sans lui, qui sait, aujourd’hui, je brûlerais peut-être des voitures…”
CHRIS
cool!
et tu le connais parce que tu l’as rencontré au rayon nutella?
Quasiment…
En fait, Didier Thouron l’avait invité à faire une conférence, un soir de l’Equirando junior 2011.
Bon, je suis un peu lente à la détente, mais j’ai fini par retrouver sa trace cet été sur internet pour lui commander son livre “un zèbre au Sahara” (que je n’avais pas réussi à trouver chez quelque libraire que ce soit).
Donc, je commande quinze mille livres (non, pas tant).
Et là, v’là-t-y pas qu’il répond qu’il habite à pas loin et qu’il peut livrer à domicile du poney-club!
Donc c’était pas au rayon nutella, mais juste à côté, au rayon poneys…