Le temps passe et invariablement les travaux avancent chaque semaine, grâce à la persévérance des derniers bénévoles encore bien présents sur le club, qu’ils en soient grandement remerciés!
La pièce contenant le cumulus et les arrivées d’eau (ou nourrices) a été isolée, afin que nous ne soyons plus, comme cet hiver, obligées d’inventer diverses tactiques plus ou moins ingénieuses (et nous limitant parfois en chauffage dans l’habitation!) pour éviter le gel de tout cela par moins 16°c. (merci Patrice, Didier et Gilles)
Une sorte de mezzanine a vu le jour au-dessus du cumulus, nous permettant de stocker le matériel spécifique à l’hiver: les gros contenants d’eau, les bâches de protection, les tuyaux, etc. (merci Gilles, Didier et Patrice).
D’autres regards ont vu le jour dans les paddocks et le long de la carrière (vu les pluies précédentes, il a fallu creuser la terre qui avait envahi les trous d’où sortaient les tuyaux à protéger, merci Gilles et Didier).
Le fond du fossé où s’écoulent les eaux de pluie issues de nos installations a été récuré: les quelques travaux en amont avaient remué de la terre, et quelques orages avaient fait écouler la terre dans le fossé, bouchant partiellement l’évacuation d’eau pluviale… (merci Gilles et Didier).
Des porte-bride ont été ajoutés dans la sellerie de club à gauche de chaque porte-selle, et TicTac a enfin son propre porte-selle (merci Jean-Paul).
Les piquets en bois des futures clôtures continuent d’être plantés (merci Pascale) afin qu’un jour nos chevaux de club aient vraiment un grand paddock.
Les plants de jeunes arbres ont été plantés tout autour de la carrière, remplaçant ceux brûlés par le froid (merci Jean-Paul), et se portent bien à ce jour (à trois plants près, peut-être par excès d’eau, mais là, nous n’y pouvons rien, pour une fois qu’il pleut au bon moment!).
Nous pourrons désormais doucher les chevaux grâce à une potence made in Clary (merci Patrice).
Baptistin n’aura donc plus l’occasion de nous faire d’arrivée fracassante en se prenant les pieds dans le tuyau d’eau jonchant le sol dans un joyeux enchevêtrement.
Un système permettant d’éviter que les poneys ne passent trop près des piquets bois de la carrière est à l’étude (merci Jean-Paul). Il permettrait de limiter que les cavaliers ne laissent une partie de leur genou sur un piquet en cas de désaccord passager sur la notion de rectitude et de respect tacite des consignes données par le cavalier (du genre “va tout droit sans que j’aie besoin de te dire de ne pas coller au bord, et non ne regarde pas par là, ça te fait dévier par ici sinon aïe mon genou; merci”).
Et l’entrée du club ainsi que la haie brise-vent ont été dégagées des excès de végétation (merci Pascale).
Je n’ose même pas aborder le thème de la compta (merci Gilles, et en ces temps de déclarations, mille merci Stéphanie) qui reste éternellement incompréhensible à mes neurones récalcitrants.