Malgré son tempérament extrêmement sensible à son environnement (le travail de désensibilisation n’est pas si aisé, un jour il a peur, un jour il a pas peur, donc il ne me permet pas de le désensibiliser à chaque séance), Quo exécute à présent à l’aise les arrêts d’urgence aux trois allures en carrière – même dans l’urgence d’une frayeur – et a compris à peu près l’intérêt des rênes et du placement du corps du cavalier, ce qui nous permet de faire des longueurs d’épaule en dedans au pas sans qu’il ne s’en offusque ni ne s’y sente mal-à-l’aise.
Un vrai plaisir pour moi en tout cas…