Voici seulement deux stages que j’ai effectués avec M. Philippe Karl..
Le manque de temps et les événements qui s’enchainent ne m’ont pas permis de développer de sujet à leur propos.
Par exemple, sur le deuxième stage, au premier soir, Vitamine se sectionnait le tendon du postérieur au poney-club (nuit partiellement blanche), puis le lendemain Arobase était en coliques au club et j’étais alors auprès d’elle lors de la visite véto – tandis que Vitamine partait se faire réparer chirurgicalement. Ceci m’a amenée à faire des allers-retours diurnes et nocturnes pour et suivre mon stage, et surveiller l’évolution d’Arobase. Autant dire qu’à cheval, j’ai réuni le peu d’attention qui me restait pour faire bonnes figures (si, allez, elle est bien trouvée celle-là!), et que de retour à la maison, je n’avais pas la moindre énergie ni envie de parler de mon vécu.
Pourtant, les stages avec M. Karl sont un pur bonheur.
Et puis un autre problème se pose: comment parler de cours aussi logiques, enseignés avec tant de patience, de courtoisie, de pertinence.
Il n’y a aucun miracle, juste de la logique mise en pratique.
Comme il se doit, je ne trouve pas de rupture entre son enseignement et l’enseignement que j’avais reçu de M. Jouve , ni celui que j’ai reçu par la suite en équitation éthologique.
Heu, à quelques énormes détails près (notions techniques, anatomiques, dynamiques). De plus, il y a des découvertes pour moi qui sont phénoménales (et pourtant si évidentes), et qui m’incitent à repenser l’équitation et donc l’enseignement que je transmets à mes cavaliers.