Son débourrage s’est passé tout en douceur, du haut de ses 10 ans et de sa grande bonhommie.
Elle a accepté:
Le travail en main de près comme à distance, ordres vocaux, gestuels, la selle et sa sangle, le poids du cavalier, le mors dans la bouche et les indications qu’il donne…
Elle m’a emmenée en balade, en tête mais aussi en acceptant de rester derrière l’autre cheval (merci à Pascale et à Éclipse).
Oh bien sûr, elle s’est inquiétée de tout cela, mais sans protester.
Oh bien sûr, elle n’a encore rien vécu en tant que cheval de selle (le comble pour une jument de trait? 😉 ), mais elle devrait s’adapter – et son propriétaire devrait s’adapter à elle.
Un petit bémol cependant: je n’ai pas eu le temps de lui apprendre à mieux donner les postérieurs (elle ne se défendait plus mais ne les laissait pas encore dans nos mains).
Bonne continuation en tout cas à la placide et sensible Laura, qui retourne vers ses amis les ânes et avec sa fille!
elle est vraiment géniale !!!!! 😉