Musique en 432Hz.
J’ai entendu deux personnes parler de cette fréquence il y a quelques mois, dans un dialogue fascinant et passionné: Séverine Deretz (ostéopathe) et Pascal Vespertini (praticien shia-tsu).
La dernière publication de Patrick Chêne (vetostéo et chants diphoniques) y fait aussi référence (un partage d’un bien joli vécu).
Alors j’ai cherché.
Et j’ai trouvé cela: http://openyoureyes.over-blog.ch/article-la-difference-entre-la-musique-jouee-a-432-hz-et-celle-jouee-a-440-hz-l-imposture-du-diapason-la-4-116065933.html
J’ai oublié sciemment de regarder la source du texte pour n’en lire que l’interview de Franck Nabet (et la suite).
https://www.bien-dans-sa-peau.fr/franck-nabet-elixirs-sonores/
Là encore, j’ai occulté le côté ésotérique du monsieur (tout en le gardant en conscience) pour chercher comment et pourquoi il a foncé dans cette voie.
Et un propos a attiré toute mon attention – en dehors du bénéfice des sons sur notre organisme pour lequel je n’ai aucun doute – c’est ce passage-là:
“Les Dauphins peuvent entendre nos pensées, car ils captent les ultrasons (fréquences supérieures à 20 kHz). Ainsi, nos ondes cérébrales Alpha, autour de 8 Hz, leur parviennent telle une musique.”
Alors, et les chevaux? Ne seraient-ils pas capables de recevoir certaines de nos vibrations aux aussi?
J’avais pensé à l’électricité neuronale lors de nos visualisations, aux flux d’énergie, à la physique quantique que je comprends mal, et me rends compte que cet ensemble de possibles, ce ‘tout’ est encore plus vaste que je ne l’imaginais…
Certains d’entre vous sauront exploiter mieux que moi ces possibles. Je n’aurais pas voulu rater une occasion de vous dire de foncer et d’expérimenter!