Notre Añeca nationale est une jument extra-ordinaire…
D’une part, elle est passée du stade d’autiste stressée au stade de jument croyant en l’humanité au point de ne plus être dangereuse ni à l’attache ni en box.
D’autre part, elle a commencé dans notre vie avec le sentiment d’un nombre incalculable de pattes, ingérables selon elle quelle que soit la situation. Mais petit-à-petit, mois après mois, elle prend conscience de son corps, et de la gestion de ses jambes (barres aux sol, montées-descentes, etc.).
Ensuite, elle choisit souvent d’abord la réponse la plus compliquée ou la plus inattendue quand on lui propose un exercice nouveau, pour petit-à-petit se laisser convaincre que ce n’est pas si dur et qu’il lui suffit de se laisser guider au lieu de paniquer et de tout essayer sans réfléchir…
Enfin, elle ne comprend pas qu’on veuille la faire passer dans de l’eau selon notre bon vouloir si on peut passer à côté ou par-dessus.
A priori, cela devient un peu beaucoup gênant quand elle est en concours de TREC, où les gués foisonnent, que ce soit durant le parcours d’orientation ou durant l’épreuve d’obéissance…
Pour cette dernière problématique – en cours de résolution, mais bon, en cours seulement – j’ai enfin trouvé la solution – aqueuse!
Il faut commencer ainsi.
Continuer de cette façon.
Et finir ainsi!
Bonnes idée !!!!
Bonnes idées !!!
la dernière vidéo illustre bien l’étymologie du mot hippopotame :laugh: (wikipedia) : Hippopotame, du grec ἵππος, hippos, « cheval », et ποταμός, potamos, « fleuve », fait référence à leur mode de vie amphibie.
Et pour cause!
Y’a qu’à écouter cela pour comprendre!
T’as fait Grec en première langue vivante, non?
Et où t’as trouvé les touches grecques sur ton clavier toi? T’es trop forte!
😉