Hé oui, il était temps, nos laineux souffraient trop des températures quasi-estivales. Le tondeur a donc été convié à nous rendre visite!
Ah qu’ils sont beaux à nouveau nos moutons!
On dirait qu’ils ont gagné en élégance, en douceur 🙂
Et Kirikou, après sa première tonte, est si fluet, si noir, qu’il parait presque hautain et snob par moments…
Bianca, la brebis de Mélanie, Quadrille, Capucine et Stewball, est elle aussi venue rafraichir sa garde-robe.
Nous avons donc dans le couloir de l’écurie, quatre toisons différentes 🙂
A cette occasion, nous nous sommes enquis des brebis des voisins, dans le village.
“Alors, vous allez tondre les trois brebis du voisin d’en bas?
– Trois? Non, elles ne sont plus que deux!
– Oh?… Ils ont mangé la troisième?
– Eux? Non! Les chiens, oui! Des chiens errants, de nuit, il y a environ un mois.
La brebis, mais aussi des poules dans une autre maison.”
🙁
Le règlement intérieur du club prévient que tout chien pénétrant dans l’enceinte du poney club doit être tenu en laisse en présence des moutons, voire muselé.
Je peux noter le grand respect de chacun face à ce règlement et je vous en remercie profondément.
Ne m’en veuillez pas le jour où, si un chien approche ses crocs même joueurs de nos moutons, un bâton ou un fouet s’abat un peu gaillardement sur lui…
Dans la course chien-mouton, ce n’est jamais, jamais le mouton qui sort indemne, aussi gentil que le chien soit au départ.
Au départ, le chien ne pense même pas à faire mal, ni à courser, il veut juste flairer…
Et Biwann, qui a pourtant grandi à leurs côtés, qui les considère comme sa meute, reste sous surveillance, pas à chaque fois certes, mais dans la durée… Merci à ceux qui interviennent quand délicatement elle met un coup de gueule ouverte (sans la fermer à ce jour) dans les jambes de Kirikou. Un “Biwann, Aïe!” suffit à lui faire comprendre l’erreur.
encore merci pour le prêt du Berlingotosaure sans lequel je n’aurais pu amener Bianca 😉
Mais avec grand plaisir!
🙂
eh bien eux ils ont de la chance de souffrir de la chaleur quasi-estivale, Je pense que leurs collègues de Dordogne, n’en sont pas à ce stade de souffrance.