Quel bonheur de savoir tous nos pensionnaires bien dans leurs poils ou couvertures par un affreux temps pareil !
Ce matin, en arrivant au club, et en voyant se dessiner les litres d’eau tombés durant la nuit – trahis par les flaques, les récipients, la carrière … – un peu d’inquiétude m’a prise. Quel soulagement de voir que tous avaient le corps détendu et bel oeil – sauf peut-être Jubilée et Qui M’Adore, mais sans gravité.
Et cet après-midi, ce vent violent, cette neige mêlée de grêle tombant à l’horizontale, gelant tout corps chaud instantanément … Et jubiler de les savoir tous protégés, inatteignables … Savoir aussi que les oiseaux du coin avaient le ventre plein, et que même les vaches étaient couvertes – non sans mal, ceci dit.
Et ce soir encore, les savoir protégés du vent et de la pluie, du froid excessif ponctuel … Ils se rattraperont bien assez vite sur des journées difficiles mais moins affreuses pour s’endurcir, va !
Hop, dormons tranquilles, nos poilus vont bien, sont en forme et n’ont pour une fois pas marqué de gros coup de mou malgré le trop sale temps ! Quel privilège …