Après une semaine assidue, nos nouveaux diplômés sont: Séréna, Véronique, Pauline et Maëlys!
Bravo à elles, et un grand merci à tous les stagiaires pour leur gentillesse et leur sérieux!
J’en profite pour donner deux informations que j’ai oublié de dire durant le stage:
– Concernant le tact (ou toucher), le cheval est muni de muscles peauciers (dedans, chouette, on reconnait le mot peau) sur leur corps. Ces muscles permettent de faire bouger la peau et ainsi de faire envoler les insectes. Nous, on n’a pas ça, on a la main qui s’agite avec agacement, et des tapettes à mouches (eux ils ont leur queue).
– Concernant la tenue de la longe, la longueur de tenue ‘sécuritaire’ entre la muserolle et notre main doit être de la même longueur qui sépare leur bout du nez de la pointe de leur épaule et pas plus:
ça évite d’une part de trop leur bloquer la tête alors que nous savons à présent à quel point ils ont besoin de la bouger en cas d’inquiétude (cf l’ouïe et la vue),
d’autre part de se retrouver à portée de leurs postérieurs trop mobiles s’ils fuient ou s’excitent de joie…
Bien sûr, quand vous décidez de prendre la longe plus long, c’est que vous êtes prêt à chasser les postérieurs loin de vous, et si vous prenez plus court c’est que vous avez un exercice de grande précision (pousser les épaules au pas à pas, cession de l’encolure vers le bas…) à faire exécuter à votre fier destrier 🙂
Bravo !