Adieu belle Circé

Sans signes avant-coureurs, la piroplasmose atypique qui avait atteint Circé l’an dernier, a resurgi brutalement, il y a une dizaine de jours, sous une forme aussi peu typique.
L’an dernier, cela avait été diagnostiqué tard quand les symptômes avaient disparu, les soins avaient préventivement été faits mais pas pour le parasite qui l’avait atteinte, et le vétérinaire a oublié d’en informer la propriétaire qui pensait sa jument traitée…
La maladie a fait son œuvre silencieusement durant tous ces mois. Et voilà, ce mercredi, elle a cessé de manger sans la moindre cause logique.

Circé a parfaitement bien été prise en charge par une clinique vétérinaire, un autre vétérinaire (suivi téléphonique avec ses confrères), et des ostéopathes.
Ces ostéopathes, en plus de ne négliger aucune piste de soin, ont veillé jour et nuit à rendre la douleur tout-à-fait supportable. Nous l’avons surveillée et supportée sans relâche, durant quatre jours, ensemble ou en se relayant, avec Pascale, sa propriétaire Marion et son autre cavalière Sandy.

Circé a tenu bon moralement. Mais Theileria equi avait insidieusement déjà fait son œuvre. Il a malheureusement fallu se décider à mettre un terme à ce combat perdu d’avance, quand les douleurs n’ont visiblement plus pu être réellement jugulées par les manipulations (la morphine ne s’avérant pas plus efficace qu’une manipulation, en fait).

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5 pensées à propos de “Adieu belle Circé

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