Le premier jour, après le mot d’accueil de Monsieur Karl, les cavaliers se sont succédés sur le rectangle afin de présenter leur monture (nom, âge, passé connu ou non, etc.) en main et sous la selle. Ceci se déroulait devant Monsieur Karl bien entendu, puis sous ses conseils, mais aussi devant les auditeurs et autres cavaliers (transformés à leur tour en auditeurs).
Les deuxième et troisième jours, le travail à proprement parler a commencé, à nouveau en séances individuelles. Se sont rajoutées à cela deux heures de théorie pour clore les journées.
La première chose qui surprend, hormis le fait de se retrouver en face du véridique Monsieur Karl, et d’avoir le bonheur d’entendre sa verve, c’est qu’à aucun moment le fait d’être assis sur une chaise jusqu’à 8h par jour ne pose problème (alors qu’habituellement, une seule journée d’inactivité physique me rend ingérable).
La deuxième chose qui surprend, si on est cavalier, c’est de ne pas faire l’effet escompté lorsque l’on présente son travail. Ce ne sont en aucun cas nos ‘prouesses’ qui intéressent Monsieur Karl, mais uniquement les détails de notre équitation de base. Nos magnifiques mouvements de deux pistes sont suivis par un œil aussi goguenard que bienveillant, nos rassemblers nous semblent bien plats tout-à-coup, etc. Et ça, c’est aussi déstabilisant que… déstabilisant. On vient pour tout un chemin à parcourir, et on sent déjà qu’on n’en a pas encore foulé le premier mètre!
Ca vous remet illico un tout-un-chacun à sa place, hein! 🙂
Le dernier jour, les séances étaient collectives, par petits groupes de cavaliers ayant des chevaux présentant peu ou prou les mêmes défauts de monte à rectifier.
Un peu bref comme tag Madame Joubert 😎
Ah tu trouves aussi !?
Il paraîtrait que Mme Joubert est très occupée et n’a pas le temps de détailler… tout ça sous prétexte qu’elle surveille la construction d’un poney-club, qu’elle s’occupe du planning des réinscriptions pour la rentrée prochaine, qu’elle a une vingtaine d’équidés de toutes tailles à nourrir et à travailler, toussa, toussa… Des excuses, oui ! 👿
c’est surtout qu’elle veut pas partager les infos, histoire qu’on en sache pas trop !
Ben, c’t’à dire que résumer des heures et des heures de pur bonheur, c’est pas ben commode… 🙂
en tant que fidèle lectrice, je me sens un peu frustrée de ces quelques lignes.
Que se passe t-il ? peut-être un changement de style ? l’auteur a décider de se la jouer “plus belle la life”, “les feux de l’amour”, “dallas” ou autres séries qui racontent un fait en 1 an. Gageons que cela n’était qu’un égarement, une fantaisie, vite oublié et que ce texte est seulement l’intro d’un autre récit bien plus riche en détails, réflexions, et informations.
Comme on aime, quoi.
(ndl :désolée pour les références télévisuelles, mais je me suis arrêtée à Bac G 😕 )
Allez, tu peux commencer à te défrustrer avec ceci, et cela.
coucou Ghislaine!!
et oui me revoilà…
j’étais pas partie bien loin … et surtout je me suis rapprochée de toi quelque part car je suis allée avec Patrice et les chevaux en Mai faire un stage d’une semaine chez un ami de Philippe Karl, Christian Jevaudan, qui tient la ferme Fortia, dans la Drôme où a passé 7 ans Philippe K, il y a 6/7 ans.
La Guérinière, Baucher… décontraction de la mâchoire, position des mains… que du bonheur en effet de comprendre mieux cette équitation là. Reste à la pratiquer, bien sûr!
J’ai retrouvé, à mon petit et modeste niveau bien sûr, beaucoup de ta philosophie, de ta douceur et de ton respect avec les chevaux dans cette équitation de légèreté. De plus Christian est un très grand pédagogue, ce qui ne gâche rien au plaisir… et rencontré un lieu magique.
Faut absolument que je passe te voir pour te raconter et savoir comment s’est passé tes premières séances avec Philippe K…
Gros bisous et surtout bon courage pour tous les travaux pour le futur club!
tu as des poutous de tango… qui va bien (ils sont à la maison l’été, que du bonheur)
Colline