Dans la cour, nous avions un Chêne (oui, bon, pas de surprise, il n’y a quasiment que cela, et il n’était pas le seul). Son tronc était séparé en deux gros bras. L’un des bras était fendu pour partie, et il tanguait dangereusement à chaque tempête. Ouille ouille ouille…
Heureusement, Didier l’a mis à terre, et nous avons pu voir que de nombreuses galeries de Capricorne (pas le signe astrologique, bande de rigolos, l’insecte!), étaient responsable du dépérissement de notre Chêne majestueux.

Nous en avons récupéré (du Chêne, pas du Capricorne) pour en faire des obstacles dits fixes. Mis en place, ils ont beaucoup amusé les poneys. Ils riront moins quand ils découvriront qu’ils doivent les franchir…  😛