Syrius et son copain

Syrius a retrouvé Peyotl comme s’il ne l’avait jamais quitté, grooming et jeux ont rythmé leur quotidien depuis vendredi.

Parallèlement, le travail effectué par Syrius continue de prendre forme. A présent, il sait céder sans se crisper à la rêne intérieure (pli de l’encolure), tout en tendant sans tirer sa rêne extérieure et en se laissant diriger par elle.

Bien sûr, il s’agit encore de nouveautés pour lui, mais de plus en plus faciles à accepter, et d’ailleurs, son temps de concentration s’allonge dans ce travail.
Il va sans dire que ponctuellement mais souvent, il résiste dans la mâchoire ou l’encolure (en général, c’est à mettre en relation avec des résistances dans les hanches), s’appuie sur la main, ou franchit la rêne extérieure (s’échappe dans les épaules, quoi),… ou oublie tout simplement de répondre à la demande de direction de la rêne extérieure! Un petit rappel aux ordres, qui nécessitait un peu de temps jusqu’ici, mais devient de plus en plus bref, et zou, tout rentre dans l’ordre.
En tout cas, rien que de très naturel pour un jeune de son âge!

Nous avons attaqué le travail de cession des hanches à l’action de la rêne (travail déjà effectué dès le jour de son arrivée, mais à pied!).
Action qu’il a, comme il se doit, d’abord hésité à suivre (d’autant que la rêne extérieure n’est pas totalement lâche, ce qui le perturbe), mais qu’il ne réfléchit presque plus à l’heure actuelle, tant cela lui parait aisé. La plus grande difficulté pour lui a été de le faire ‘à pas comptés’, et sans doute l’y ai-je mal préparé, lui demandant les deux à la fois plutôt que l’un puis l’autre, puis les deux. Pourtant, il est passé outre mes erreurs et a fini par s’appliquer malgré tout à cet exercice nouveau au pas comme au trot.

Lorsque nous aurons stabilisé ces exercices, alors nous pourrons commencer à travailler le galop (et non plus juste faire librement quelques foulées par ci, quelques foulées par là).
Ceci risque d’être reporté à après les randonnées qui s’approchent à grand pas. Voire même après un retour sérieux au travail, les randonnées faisant parfois oublier les subtiles actions de rênes et la soumission de la bouche au mors…  😉

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