Encore et toujours, le club n’existe et ne vit que grâce à l’investissement en temps, en réflexion, et en efforts physiques de tous ses acteurs…
Cela va des cavaliers et parents qui font en sorte qu’il y ait le moins de glands de chêne (toxiques!) possible accessibles pour les chevaux (commode dans une forêt de chênes…), à ceux qui nettoient les stalles quand le climat impose d’y rentrer les chevaux pour qu’ils aient parfois les pieds au sec, à ceux qui ramassent et rangent le bois mort tombé partout, jusqu’à ceux qui sacrifient une heure, leur jour férié voire leur week-end pour venir monter un hangar à foin de toute urgence, la tente-à-foin ayant rendu l’âme…
Idée et matériel ont fusé de toutes parts, et ça y est, le hangar abrite déjà du foin!