Où en sont nos jeunes rebelles?

En ce qui concerne Agadir, après un mois de repos, il a repris le travail. Ses angoisses ponctuelles en promenades n’aboutissent plus à un cabrer… pourvu que le cavalier ait entendu son refus, et réagit en le reconcentrant sur un exercice précis (report du corps sur une épaule, flexion d’encolure, etc.).
Nous le concentrons aussi sur le travail d’extension d’encolure en carrière mais aussi en des lieux où il est tenté de se mettre sous pression. C’est -à-dire en extérieur, voire simplement près de son paddock, mais qui n’est jamais assez près d’après lui.

 

Ses réponses sont à chaque séance meilleures. 😉 Il est de plus en plus désireux de trouver les gestes qui nous conviennent.
Il nous reste à le tester sous stress plus oppressant: lorsque son compagnon de vie, en promenade, s’éloigne de lui.

Pour Idi Min, plus d’un mois après son début de travail, la sérénité semble enfin là. Elle se met volontiers au travail, ne pense (presque) plus à freiner, refuser l’action de la jambe isolée ni à discuter les actions de main. Elle accepte volontiers le contact permanent de la main, elle se porte facilement en avant et accepte les exercices d’épaule en dedans sur le cercle dans la régularité. Bien sûr qu’elle oblige le cavalier à la guider pas à pas, mais elle est de très bonne volonté et d’une grande écoute.

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