A été repoussée.
Pourtant le vétérinaire n’avait pas de chevaux à soigner en urgence cette fois.
Pourtant les routes n’étaient pas verglacées.
Pourtant la nuit n’était pas encore tombée (Altaïr par exemple a été castré à la lampe torche 🙂 ).
Alors?

Ben… il y avait un risque pour que la peau des testicules – privée de ses testicules, de leur chaleur – et non encore rétractée près du corps, gèle et meure…
Ce qui laisserait un grand pan de peau manquant, et une cicatrisation extrêmement longue…

Ha ha ha, très très drôle cette petite expérience réelle… ben c’est noté merci m’sieur, on prend rdv au dégel alors, et on va garder le petit gars avec ses attributs dans sa petite peau bien au chaud alors, hein!

Du coup…
Bon, ça permet de ne pas se demander comment lui faire les soins en cas de gel des canalisations.
Et puis zou, comme si la journée n’était pas assez chargée comme ça, on a passé toutes les femelles dans un parc (avec Sendre en plus) et réuni tous les mâles dans un autre (sauf Sendre).
C’est ainsi que pour la première fois de ma vie, j’ai entendu Pépito crier (couiner en terme technique) toutes le gammes et toutes les modulations possibles au contact de Galopin qui souhaitait le saillir ou jouer avec lui. Sans le taper forcément. Enfin si, deux fois, très très fort: quand Galopin est passé entre Pirate et Pépito! L’amitié, c’est sacré, Pirate, c’est son pote à lui, il prête pas! Et Galopin a bien compris: la deuxième fois, il a cessé de vouloir jouer et a filé dare-dare!